14 novembre 2013
alignement
Y en a t-il un qui passerait par là ? Sous les arcanes de la nuit envisagerais-je l'ennui ? Lasse, je suis et la mémoire me revient : le temps , la figue et le vin. Sans raison emportera-t-on mon nom ? Y a t-il déjà les gerçures du passé qui hanteraient au bout du chemin le sommeil plein de loups, sans pareil et sans merci ? Il m'est revenu au dessus du tout ce soleil qui se terre entre les pas du saut de la nuit. Y en aura t-il toujours un pour me dire que je suis venue te rejoindre, là, au front des hantises, sans arguments, sans retour, sans pensées arrières, frontal et direct pour me faire passer le goût de la peur ? Ah, te revoilà et tu dis on ne dit pas ces choses là.
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